Ci-dessous les liens d’accès aux cahiers d’acteurs, contributions et principales interventions de la coordination d’associations DARLY, de ses associations et de ses membres.
Cahier d’acteur N°3 du collectif associatif (DARLY+SCL+MNLE+FNAUT+RAC) :
<http://www.debatpublic-anneau-top.org/espaces-expression/contributions-cahiers-acteurs/cahier-acteur-detail.html?id=6"> http://www.debatpublic-anneau-top.org/espaces-expression/contributions-cahiers-acteurs/cahier-acteur-detail.html?id=6 >
Cahier d’acteur N°4 des associations "Sauvegarde de la vallée de Francheville" et "Bien vivre à Pierre-Bénite"
<http://www.debatpublic-anneau-top.org/espaces-expression/contributions-cahiers-acteurs/cahier-acteur-detail.html?id=7 >
Cahier d’acteur N°9 de l’association Saint-Genis-Sud
<http://www.debatpublic-anneau-top.org/espaces-expression/contributions-cahiers-acteurs/cahier-acteur-detail.html?id=20>
Réflexions & Enseignements par Joël Dubos au nom de CEDRUL + DARLY
< http://www.debatpublic-anneau-top.org/docs/documents/avis-dubos-050413.pdf > ou
< http://www.debatpublic-anneau-top.org/espaces-expression/forum-discussion/avis-detail.html?record_id=160&comment_id=868 >
Ressenti de M. Maurice Fisch, au nom de la SCL (Sauvegarde des Coteaux du Lyonnais)
< http://www.debatpublic-anneau-top.org/docs/documents/avis-fisch-050413.pdf >
Enseignements du débat public au nom de la Sauvegarde de la Vallée de Francheville, (par jean-jacques Extier) :
<http://www.debatpublic-anneau-top.org/espaces-expression/forum-discussion/avis-detail.html?record_id=160&comment_id=855"> http://www.debatpublic-anneau-top.org/espaces-expression/forum-discussion/avis-detail.html?record_id=160&comment_id=855 >
Bilan des réunions organisées par la CPDP par Edmond Luca au nom de la FNAUT (Fédération Nationale des Transports Publics)
< http://www.debatpublic-anneau-top.org/espaces-expression/forum-discussion/avis-detail.html?record_id=160&comment_id=857 >
Réactions, réflexions et propositions pour une vraie sortie par le "haut", par Pierre Grosjean, à propos de la Contribution N°8 d'Yves Crozet : "Pour une approche "laïque" de la mobilité urbaine"
< http://www.debatpublic-anneau-top.org/imgs/comment/commentaire-darly-contrib-crozet-020413.pdf >
La confiance accordée aux experts par Jean-Pierre Gaume, secrétaire du MNLE69 (Mouvement National de Lutte pour l’Environnement et membre de DARLY.
Selon Yves CROZET, Professeur Lyon 2, membre du Laboratoire de l’économie des Transports, Unité Mixte de recherche du CNRS et ENTPE, les coûts d'infrastructures supportés par les individus, usagers et contribuables ne sont pas seulement d'ordre financier : "On peut leur ajouter les coûts externes des déplacements, c'est-à-dire les pollutions, le bruit, l’insécurité routière, etc. Pour ce faire, l’Etat définit ce que l’on appelle les valeurs tutélaires, c'est-à-dire la valeur monétaire de chaque externalité négative. Les circulaires qui définissent ces valeurs se sont multipliées au fil du temps." Une application en a été faite dans l’étude établie pour le compte de la DDE / Lyon-Ouest du 21.12.2012. Son auteur, dans son rapport "TTK", utilise ces valeurs tutélaires comme éléments multicritères d'analyse de la problématique déplacements dans les territoires de l'Ouest lyonnais. Ces conclusions, à la lumière d'expériences des pays voisins sont saines : "Une stratégie axée sur un fort report modal de la VP sur les TC et sur le développement d’une nouvelle forme d’urbanisme densifié :
1- n’est pas forcement plus coûteuse en investissement public ;
2- consiste à amener le niveau des investissements TC à un niveau au moins égal à l’investissement routier ... Pour parvenir à la réduction de l’accroissement probable de 70%, de l’utilisation de la voiture, à 35%, il faut envisager, (comme les aménageurs le font aux Pays-Bas) ;
3- le doublement de la fréquentation des transports en commun ;
4- l’amélioration de l’accessibilité des pôles d’activités. Ainsi, pour inciter les automobilistes à se reporter sur les transports collectifs ou le vélo, il faut envisager également:
5- la réglementation sévère du stationnement ;
6- l’assurance d’une bonne qualité de service et de coordination des différents modes de transports en commun ;
7- l’action sur l’aménagement du territoire en disposant « la bonne entreprise au bon endroit ». Pourquoi nos élus de l'équipe municipale du Grand Lyon ne font ils aussi peu de cas de ces conclusions émanant d’experts et chercheurs de l'Etat parmi les meilleurs ? Les institutions ou groupements d'intérêts économiques ont-ils donc tant d'influence auprès des élus du Grand Lyon qu'ils (ces derniers) en oublient même l'intérêt général des résidents et des usagers de déplacements pendulaires dans les territoires de l'ouest-lyonnais ? Ces usagers en sont pourtant bien les acteurs privilégiés de ce changement économique, -et les payeurs des infrastructures, en fin d'analyse, comme en a conclu l'association Déplacements Citoyens dans son cahier d'acteur n°12 ! Même si les coûts estimatifs des projets existants et proposés n'étaient pas estimés à leur juste mesure par l'auteur de l'étude est-ce une raison pour faire aussi peu de cas cet analyse multicritère, qui prend en compte les processus d'urbanisation et leur avenir plus harmonieux et plus conforme aux documents généraux d'aménagement (SCOT et PDU) ? A quoi bon gaspiller les investissements intellectuels de ces chercheurs si on ne leur accorde aucun crédit, et pourquoi aller prolonger d'autres études sur des options d'aménagement qui leur sont contradictoires : est-ce pour satisfaire les "besoins" d'un seul groupe d'intérêt ? Encore faudrait-il qu'ils puissent nous sortir un jour de cette "crise" qui prend ces sources en Europe et pas à Lyon ni dans l'Agglomération-Métropole ! "Les effets structurants des infrastructures étant en fait beaucoup plus faibles que prévu, il ne faut pas rêver sur les impacts en termes d’emplois ou de gain de PIB" (Yves CROZET) - *gouffre financier : financé à près de 90 % par le contribuable (7 000 euros par foyer fiscal !)
Trois irrégularités entachent la démarche du projet d'agglomération de la Communauté Urbaine de Lyon concernant l'Anneau des sciences
par Jean Sarraillon (Sauvegarde vallée de Francheville)
Monsieur le Président,
A la suite de la réunion de notre conseil d’administration du 3 avril, notre association
représentant 160 adhérents estime que trois irrégularités entachent la démarche du projet d'agglomération de la
Communauté Urbaine de Lyon dont le débat public s’achève. Vous avez bien compris que l'Anneau de sciences,
prolongeant le TOP ancien, est un enjeu fort de déplacements et d'environnement pour notre commune, comme
pour tout le secteur Ouest. En préalable, notre association tient à vous exprimer ses remerciements pour la
qualité de l'organisation du débat public qui a permis à tous de s'exprimer même si le Président du Grand Lyon a toujours été sur la brèche pour défendre son infrastructure.
1/ L’équité a été absente des études du dossier du maitre d'ouvrage, celui-ci présentant une majorité de pages pour le scénario préféré face aux alternatives sans infrastructure routière majeure, intitulées « hypothèses ». Or le 14 avril 2012, suite à la première présentation du débat public, nous avions alerté votre Commission et le Grand Lyon sur les exigences d'une véritable étude comparative de scénarios. La Directrice de cabinet du Président nous a même reçus et promis que le dossier répondrait à nos souhaits. Étant données les insuffisances du dossier et des questions posées par plusieurs acteurs et nous-mêmes, vous avez accepté de commander une expertise indépendante. Celle-ci a permis d'apprécier leur pertinence et d'avoir un autre éclairage sur les conclusions du maître d’ouvrage, quant à la nécessité de réaliser le TOP. Elle a notamment proposé d'autres perspectives à étudier : - Pour améliorer les déplacements de tout l'Ouest, alors qu'aucun projet de Transport Collectif en Site Propre n'avait été étudié par le Grand Lyon, disposant de la compétence transports publics qui a été déléguée au SYTRAL, Autorité Organisatrice des Transports Urbains. La seule opération dite LEOL concerne un détournement à l'heure de pointe seulement, de 10% des bus journaliers C24, par un itinéraire plus long qui néglige la majorité des usagers dans les nombreuses lignes restant sur la RD 489 encombrée. - Pour requalifier l'axe A6/A7, à Confluence et le Cours de Verdun à Lyon, notamment par un aménagement progressif de l’itinéraire par sections.
2/ L’aménagement envisagé de la « Porte d'Alaï », aux confins de leurs communes, n'a même pas été présenté le 10 janvier 2013 aux Franchevillois, Craponnois et Tassulinois à la réunion territoriale de Tassin la Demi -Lune.
A Francheville, aucune réunion communale n'a été organisée alors que les quartiers très proches, Bel Air, Alaï et les Hermières, vont en subir les nuisances : bruit, pollution (avec éventuellement un phénomène d'inversion des températures en fond de vallée), paysage urbain et végétal dégradé, congestion des rues ! C'est une mauvaise solution qui entraînera le massacre irréversible du vallon de la rivière du Charbonnières : création de 3 giratoires branchés sur la voie Romaine et l'avenue de la Table de Pierre, un viaduc de près d'un kilomètre conduisant à un tunnel sous la colline de Bel Air, à l'instar de celui de Fourvière ! Le bureau d’études techniques du Grand Lyon, EGIS, admet que le projet d'Anneau de sciences « apparaît toutefois d'une grande complexité, aucune de ses composantes ne pouvant être considérée comme classique...Dans tous les cas, les risques techniques demeurent multiples et forts... les études de conception doivent être approfondies de manière ...à favoriser l'insertion de l'infrastructure dans son environnement (que ce soit naturel ou humain) ». C'est d'ailleurs dans ce dossier :
« Caractéristiques techniques générales de l’infrastructure » (cf. site CPDP) que nous avons découvert les plans et schémas que le Maire de Francheville avait dénommé « de simples gribouillis», le 22 mars, alors que nous souhaitions avoir des informations plus précises sur cette Porte d'Alaï. Heureusement, nous pouvons compter sur la promesse d’une étude attentive de cet échangeur et d’une concertation sur ce point, promesse annoncée par le Vice-président à la démocratie participative, Gérard Claisse, lors de la réunion de clôture du 21 mars.
3/Le projet d'Anneau de sciences concerne autant le TOP que le réaménagement du Périphérique Est, mais le dossier du Maitre d'ouvrage ne comporte pas les opérations sur cette voirie dite boulevard Laurent Bonnevay ! Pourtant ces opérations ont été présentées le 20 février 2013 à Bron lors d'une réunion animée par la CPDP. Alors que le Périphérique Est voit à terme augmenter ses trafics, en raison du TOP, le dossier n'en décrit ni opportunités, ni caractéristiques, ni coûts. Ne devrait-il pas être considéré comme caduc en tant que « dossier du maitre d'ouvrage pour l'Anneau des Sciences » ? D'une conversation avec le directeur du SEPAL, monsieur Chassin, syndicat du Scot de l'agglomération lyonnaise, j'ai d'ailleurs retenu que l'extension des études de l'Anneau des Sciences au Périphérique Est serait un des mérites du Débat Public lyonnais. De même, les aménagements du Périphérique Est devraient faire l'objet d'une étude d'impact sur l'environnement. S'ils restent « saucissonnés » ainsi, séparés du TOP alors qu'ils constituent une partie de l'Anneau des sciences, ils pourront échapper à une enquête publique globale avec étude d'impact. Cette situation serait en contradiction avec la LOTI (décret d’application no 84-617 du 17 juillet 1984) art.3 : "Lorsqu’un projet est susceptible d’être réalisé par tranches successives, les conditions prévues à l’article 2 (définissant la notion de grand projet d’infrastructure NDLR) s’apprécient au regard de la totalité dudit projet et non de chacune de ses tranches; l’évaluation prévue à l’article 4 doit être préalable à la réalisation de la première tranche") En conséquence des trois irrégularités que notre association a relevées et que nous signalons aussi sur le site du débat public, ne pensez-vous pas qu’il soit nécessaire de les mentionner dans votre rapport du débat public sur l'Anneau des sciences ? Nous serions très intéressés par votre analyse sur le sujet. En vous souhaitant bonne réception, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, nos salutations distinguées. Jean Sarraillon, Président de l’association la Sauvegarde de la Vallée de Francheville.
Réflexions de DARLY sur le débat par Bernard THIERRY, DARLY le 05 avril 2013
En réponse à la Q5 de la question 273 : Le MO (maître d’ouvrage) nous dit : La ligne A2 n’est pas une ligne de tram, mais une ligne TC.
Le MO indique que sa réalisation est aujourd’hui conditionnée par la réalisation du projet AdS. Réponse de DARLY : inacceptable pour une ligne prévue au PDU 1997 et en tramway !
Au commentaire de la question 108, seul la CPDP a fait la réponse suivante : « La commission a transmis vos remarques et questionnements au Grand Lyon en lui demandant de vous apporter prochainement une réponse. » AUCUNE réponse du MO pour l’instant ! Les acteurs du monde économique bénéficieraient du projet qu'ils soutiennent, mais ne participeraient pas au financement de l’AdS. Refus du MO d’envisager une mise de l’A7 en Boulevard urbain sans attendre l’AdS. DARLY réclame d'urgence cette requalification.
Aucun souci de dialogue ; aucune ouverture du MO. Les propositions de TTK sont balayées, les contributions de l’ENTPE ne sont pas prises en compte. Les conseilleurs du MO ne sont pas les payeurs ! L’AdS n’est pas une question de confiance envers le projet du MO mais une question de vision de l’avenir : Il faut faire un peu de prospective ! Ce qu’on appelle la crise n’est que le début d’une troisième ère. Nous avons vécu les 30 glorieuses, puis les 30 "plateau". Nous entrons (à reculons !) dans les 30 "décroissance". La population mondiale a augmenté. Les ressources minières et énergétiques fossiles diminuent. Le climat se modifie. L’eau douce devient précieuse. Les zones désertiques s’étendent. Les pays en voie de développement souhaitent atteindre notre niveau de vie. In fine, nous consommons plus que la planète peut donner. Ces évidences sont difficiles à accepter. Plus nous tarderons à le réaliser, plus le choc sera rude !
Citons Pierre Rabhi : « Si nous nous accrochons à notre modèle de société, c’est le dépôt de bilan planétaire » Quelle société voulons-nous aujourd’hui construire ? « La croissance est un problème, pas une solution », affirme Pierre Rabhi, paysan-philosophe. Face à la disparition des questions écologiques dans le débat politique, et à la frénésie marchande qui nous a pris en otages, il invite à repenser la vie sur un mode à la fois « sobre et puissant ». Et à inventer, pour éviter des explosions sociales et un chaos généralisé, un autre modèle de civilisation. Entretien : < http://www.bastamag.net/article2370.html > Le MO donne l’impression que ce débat public sur l’AdS n’a été organisé que parce que c’est une obligation légale, mais que cela ne changera rien à sa volonté de réalisation, quel que soit l’avis formulé par la CPDP. C’est simplement pour le MO une étape à franchir !
Pourquoi le MO ne tient pas compte des contributions des élèves-ingénieurs SPECIALISTES de l’ENTPE ?
par Bernard THIERRY, DARLY le 05 avril 2013
Pourquoi le MO ne tient pas compte des contributions des élèves-ingénieurs SPECIALISTES dans les domaines de l'aménagement du territoire des politiques urbaines et en Transports ? Ils se sont impliqués dans ce projet et ont publié des avis et un cahier d'acteur de techniciens très pertinents. Ces contributions qui prennent en compte leurs conditions de vie future ne devraient-elles pas être mieux prises en compte ? Curieusement elles rejoignent les avis des associations de DARLY et de Stop-au-TOP avec le même souci du Développement Durable! Voir ci-dessous :
Cahier d’acteur N°16 des étudiants de l’ENTPE :
< http://www.debatpublic-anneau-top.org/espaces-expression/contributions-cahiers-acteurs/cahier-acteur-detail.html?id=34 >
Concentration de la pollution ; par Sublet Pierre le 03 avril 2013 Ces distances ne sont-elles pas fantaisistes ? Bien lire la page 7 du document développement durable :
< http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/ALPNAP_Brochure_French_2007.pdf >
La conséquence est la formation d’une couche d’inversion caractéristique d’une température qui augmente avec l’altitude. Si l’air est suffisamment humide, un brouillard persistant ou des stratus peu élevés (Fig. 7) se forment, ce qui empêche le soleil de briller. De telles inversions agissent virtuellement COMME UN COUVERCLE POSE au-dessus des
couches de l’atmosphère proches du sol, SUPPRIMANT ainsi TOUT ÉCHANGE vertical de l’air. Les polluants ne peuvent plus être diffusés loin de leur source d’émission et LEUR CONCENTRATION AUGMENTE ! Il n'est pas opportun de placer un échangeur "diffuseur" dans le Vallon des hôpitaux. Page 93 : Les espaces naturels sont très présents dans ce secteur. On pense aux prairies et aux espaces boisés qui ceinturent le vallon des hôpitaux. Voir aussi l'avis 114 et les questions 123 - 192 - 240 relatives aux problèmes de brouillards persistants et des inversions de température qui empêchent toute dispersion lors des nombreux épisodes de pollution. Il n'est plus question de 100 ou 150 m pour la dilution des gaz nocifs. Ces épisodes sont encore plus marqués dans les vallons. A proximité de l'échangeur de la Saulaie, il y a aussi un collège et des équipements sportifs (page 113 du dossier). Ne pas passer aux Hôpitaux c'est préserver : la maternité et le service de pneumologie, les quartiers de Montmein avec l'école maternelle qui surplombe le site, du Revoyet avec aussi une école maternelle, de La Patinière, du Chemin du But, du haut de la rue Francisque Darcieux avec le collège et lycée Saint Thomas d'Aquin, ''tous ces sites sont juste à proximité échangeur'' qui concentrerait tous les polluants lors des épisodes de pics de pollution.
Remerciements
par Bernard THIERRY & Pierre Sublet ; DARLY le 05 avril 2013
La coordination d’associations DARLY tient à remercier toute l’équipe de la CPDP pour sa disponibilité, son
écoute, ses avis, son souci d’équilibre et sa patience. Nous avons particulièrement apprécié vos présentations impartiales pour les résumés des chapitres précédents à chaque début de réunion.